Octobre 2024
Groupe de la Majorité
La sécurité des Nîmois : une priorité municipale absolue
Les événements récents, notamment l’incendie du poste de police commun police municipale-police nationale dans le quartier de Pissevin, marquent un nouvel épisode dans notre lutte incessante contre les violences et les trafics qui gangrènent ce quartier. Ces actes sont non seulement des attaques contre les institutions, mais aussi contre la tranquillité publique et la sécurité des habitants.
Nous ne pouvons que déplorer de tels faits et réaffirmer notre soutien indéfectible aux forces de l’ordre. Leur engagement quotidien pour garantir la sécurité des citoyens mérite toute notre reconnaissance et notre respect.
Pour Jean-Paul Fournier et l’ensemble de la Majorité municipale, la sécurité a toujours été et demeure une priorité absolue. Depuis toujours, la proximité des policiers municipaux avec les Nîmois est reconnue, favorisant une relation de confiance avec les habitants. Nous voulons d’ailleurs rendre hommage aux 169 policiers.
Notre police municipale, qui est une police de proximité, forte d’agents armés, représente aujourd’hui la cinquième force municipale la plus importante de France. Un effort constant pour renforcer cette présence se poursuit avec, à l’horizon 2026, la volonté de recruter de nouveaux policiers municipaux. L’innovation technologique joue également un rôle central dans l’optimisation de la sécurité publique. Le Centre opérationnel d’hypervision urbaine de Nîmes, inauguré il y a quelques mois, constitue une avancée majeure en matière de coordination des services.
C’est par cette volonté politique de Jean-Paul Fournier que la Ville de Nîmes compte 664 caméras de vidéoprotection (682 d’ici la fin de l’année) permettant d’assurer un maillage très important du territoire et d’effectuer, dans le périmètre élargi du centre-ville, des actions de vidéo verbalisation. Ainsi, l’action des policiers municipaux a pu être réorientée sur d’autres missions, au plus près des habitants et des commerçants.
À cela, s’ajoute l’effort continu pour équiper nos policiers municipaux d’outils performants en termes de gestion de l’espace public et de renforcement de la tranquillité : nouvelles motos, nouvelles armes, nouveaux véhicules… Tous ces investissements et cette implication politique, incarnée par Richard Schieven, Adjoint délégué à la Sécurité publique, ne doivent pas nous faire oublier que la sécurité est d’abord et avant tout une prérogative de l’État. Gageons que le nouveau ministre de l’Intérieur prenne la mesure de tous les enjeux sécuritaires, notamment dans les quartiers prioritaires qui, au-delà de la nécessaire rénovation urbaine, doivent pouvoir bénéficier d’actions spécifiques pour lutter de manière incisive contre les trafics de stupéfiants et toutes formes de séparatismes et d’islamismes.
L’arrestation de l’auteur présumé de la tentative d’incendie de la synagogue de La Grande-Motte dans le quartier de Pissevin est une nouvelle très inquiétante. Elle témoigne des dérives inacceptables d’actes et de propos antisémites, dont font l’objet les citoyens de confession juive et parfois relayés par des élus proches de LFI, bien loin de la nécessaire concorde nationale dont notre République doit impérativement faire l’objet.
Groupes de l'opposition
Nîmes Citoyenne à Gauche
Alertés par des étaliers et par des habitants attachés à ce lieu unique, nous éprouvons une inquiétude réelle quant au devenir des Halles de Nîmes. Si nous partageons l’idée qu’il faut les rénover, notamment pour les adapter aux normes actuelles, nous croyons que ces travaux ne doivent pas dénaturer leur identité. Lieu de rencontres en centre-ville, les Halles de Nîmes ont gardé une authenticité qui trop souvent disparaît ailleurs en France. En effet, dans d’autres villes, les halles sont devenues des vitrines commerciales proposant des produits plus chers à l’issue d’un cycle de travaux. La façon dont les choses sont conduites aujourd’hui à Nîmes nous fait craindre un résultat au goût plus qu’amer.
La durée des travaux de rénovation annoncée, de 18 mois, inquiète et il est à craindre qu’un certain nombre d’étaliers ne pourraient y résister. D’ores et déjà, les travaux prévus pour les nouveaux escalators destinés à desservir les Galeries Lafayette vont impacter des étaliers.
Nous pensons que la Ville doit garder la maîtrise du devenir des Halles tout en faisant confiance à la concertation avec les étaliers, les clients... Il y a 18 mois, nous avions déjà signalé le flou quant aux intentions de la majorité, nous regrettons encore aujourd’hui les zones d’ombre et appelons à la plus grande transparence et à la concertation.
V. Bouget, J. Menut, C. Giacometti, B. Ferrier, S. Fayet, C. Bastid, M. Bernède, P-E. Detrez
Contact : elus.ncg@orange.fr
Les Progressistes
Avec l’aménagement des abords du bâtiment, les travaux du Palais des congrès entrent dans leur dernière phase. Si des inquiétudes sérieuses perdurent quant à son poids sur les finances de la Ville, notamment le coût réel et non étayé de son fonctionnement, c’est aujourd’hui son environnement qui apparaît comme une aberration. En un mot, béton. 6 450 m2 de béton désactivé ou de pierre et à peine 15 malheureux arbres.
A l’heure où la désartificialisation des sols s’impose partout, où les chiffres du réchauffement sont toujours plus alarmants, Nîmes continue de nier une réalité : seules la végétalisation et l’ombre naturelle permettront de faire baisser la température d’une ville écrasée par la chaleur en été.
Valérie Rouverand – Les Progressistes
Les élus du Rassemblement National
Chers Nîmois, Chères Nîmoises,
Notre ville a encore fait l’actualité cet été !
Violences, incivilités, délinquances, tirs... Tous les quartiers sont aujourd’hui concernés, y compris ceux qui hier étaient qualifiés de tranquilles, comme le Mas de Ville par exemple.
Depuis 2014 notre groupe demande à la majorité plus de vidéoprotection et de policiers municipaux. Puisque l’Etat n’agit pas, nous devons pallier cette situation, la visite de Gérald Darmanin n’aura eu aucun impact sur notre sécurité ! La situation est telle, dans les quartiers, qu’après la fermeture de la médiathèque c’est au tour des associations (comme les restos du cœur) de déserter les lieux.
En 2026, croyez-nous, nous serons fermes et nous n’aurons pas la main qui tremble face aux voyous !
Le Groupe RN de Nîmes