Septembre 2024

Nîmes : une Ville intelligente de premier plan 

Aujourd’hui, nous vivons dans un monde où la connectivité est essentielle. C’est pourquoi, Jean-Paul Fournier, maire de Nîmes, et Frédéric Escojido, adjoint délégué à l’Enseignement supérieur, à l’Université et à la Ville connectée, à l’Eclairage public et au plan lumière, ont eu la volonté ferme de favoriser le déploiement de la fibre optique dans tout l’Écusson nîmois comme dans le reste de la ville. 7 000 prises seront installées en cœur de ville, permettant ainsi de disposer d’une couverture numérique de qualité. Cette avancée sera également un avantage supplémentaire pour les besoins des professionnels afin de faciliter les connexions internet pour le télétravail, les formations à distance ou bien encore la télémédecine. 

Investir dans les solutions numériques, c’est investir dans l’avenir, pour permettre à tous les Nîmois de bénéficier d’un accès à la toile. 

C’est pourquoi M. le Maire, avec les élus de la Majorité municipale, s’engage pour continuer à développer le réseau sur l’ensemble du territoire les plus excentrés et notamment les quartiers prioritaires de la ville et en particulier celui de Pissevin, qui doit retrouver absolument une couverture optimale, notamment pour l’action de professionnels du secteur médical et paramédical qui évoluent dans ce quartier. 

Cette Ville intelligente se matérialise par un centre d’hypervision qui a été inauguré il y a quelques mois, ayant pour finalité première celle d’améliorer la vie quotidienne des Nîmois, en utilisant, entre autres, les 644 caméras vidéo présentes sur la ville. Les services municipaux peuvent ainsi réagir plus rapidement sur le domaine public : problèmes de voirie, insécurité, propreté, équipements dysfonctionnels, etc. Avec cet outil, la prévention des risques sera renforcée, passant ainsi de la vidéoprotection à la vidéogestion du territoire. 

Notre Ville intelligente, c’est également le développement de l’application mobile « Nîmes », qui vous permet de suivre l’actualité de notre cité en temps réel, grâce à une base de données avancée et interactive. Plus que jamais, Nîmes se dote des atouts pour affronter le XXIe siècle. 

Notre Ville intelligente, c’est enfin les tableaux numériques qui équipent les écoles nîmoises pour permettre aux plus jeunes d’avoir accès, de manière mesurée et adaptée, à cet outil moderne. 

En cette période de reprise scolaire et universitaire, Jean-Paul Fournier et l’ensemble du Conseil municipal vous souhaitent à tous une très belle et heureuse rentrée 2024 !

Cet été, la température à Nîmes a régulièrement dépassé les 35 degrés, comme c’est de plus en plus souvent le cas. En raison du dérèglement climatique, nous savons que les périodes de canicule vont se répéter et s’amplifier, a fortiori dans la ville la plus chaude de France. Or, rien n’est fait pour adapter la ville à cette évolution. 

Le manque de piscines publiques est ainsi flagrant pour une ville de 150 000 habitants. Fin juillet, un problème technique a entraîné la fermeture d’Aquatropic pendant quelques jours. Il ne restait alors plus que deux piscines ouvertes, les Iris et Nemausa, fermée ensuite pour entretien annuel du 19 août au 2 septembre. Il serait temps de se préoccuper des Nîmoises et Nîmois qui ne possèdent pas de piscine privée et ont besoin de se rafraîchir. Le maire et sa majorité pourraient aussi s’inspirer d’autres villes, comme Marseille par exemple, qui a rendu l’accès à toutes ses piscines municipales gratuit pendant les périodes de canicule. 

Plus largement, il est urgent de mettre en place, à l’instar d’autres municipalités qui travaillent déjà sur cette question depuis plusieurs années, un véritable plan d’adaptation au réchauffement climatique incluant notamment un vaste programme de végétalisation de l’espace public pour faire baisser la température en ville. Il s’agit désormais d’un impératif sanitaire. 

V. Bouget, J. Menut, C. Giacometti, B. Ferrier, S. Fayet, C. Bastid, M. Bernède, P-É. Détrez 
Contact : elus.ncgping@outlookpong.fr / 06 64 23 61 93

Si le projet de rénovation profonde des Halles est indispensable, on ne peut que s’inquiéter du mode de gestion de ce dossier vital pour notre cœur de ville. Les 69 étaliers sont-ils vraiment associés au devenir de leur outil de travail ? On peut en douter. La réunion organisée en juillet les a mis devant le fait accompli. L’installation des Galeries Lafayette supprime déjà trois étals à l’entrée de la rue Général-Perrier, les travaux prévus en 2030 supprimeront également ceux situés tout autour du bâtiment.

Les baux commerciaux se terminent en décembre 2029 et aucune garantie n’est apportée quant à la possibilité pour les commerçants de retrouver un emplacement dans les nouvelles Halles, voire d’être prioritaires. Comment se projeter sur les six ans à venir ? Quelle gestion du marché provisoire transféré pendant 18 mois sur le boulevard Gambetta ? Le fond est à dessiner collectivement, la forme n’y est pas. La co-construction était un préalable, pas une promesse floue d’avenir alors que le projet est déjà ficelé unilatéralement ; comme trop souvent à Nîmes. 

Valérie Rouverand - les Progressistes

Chères Nîmoises et chers Nîmois, 

La réfection de nos Halles est bien sûr nécessaire …. La municipalité doit pourtant être claire quant au devenir et à l’avenir de nos étaliers. Être claire sur le devenir des commerçants pendant les travaux mais aussi sur la fin des baux en 2029. 

Les étaliers doivent pouvoir continuer à travailler pendant cette période, continuer à investir et ne doivent plus vivre dans l’incertitude comme c’est le cas aujourd’hui. Nos Halles sont le poumon de notre centre-ville déjà bien triste aujourd’hui. Des décisions doivent être prises rapidement pour chacun d’entre eux : il en va du devenir de nombreuses familles et de notre centre-ville. 

Les élus du rassemblement national seront à leurs côtés, comme toujours dès qu’il s’agit de défendre les commerces de proximité !
Vivement 2026 ! 

Le groupe RN de Nîmes