Risques majeurs

    A quels risques majeurs sommes-nous exposés ?

    Les citoyens ont droit à l'information sur les risques majeurs auxquels ils sont soumis sur tout ou partie du territoire et sur les mesures de sauvegarde qui les concernent.

    La Ville de Nîmes met à disposition son Document d'Information Communal sur les Risques Majeurs (DICRIM). L'objectif est d'informer la population de l'existence des risques et des mesures de prévention, de protection et de sauvegarde mises en place.


    Les inondations

    En raison de sa localisation géographique, de la nature des sols sur lesquels elle s’est développée et du climat typique des régions méditerranéennes, la ville de Nîmes est exposée à un fort risque d’inondation torrentielle.

    En savoir plus sur la prévention des risques liés aux inondations

    Les feux de forêts

    La garrigue nîmoise, composée essentiellement de chênes verts, chênes Kermès et pins d’Alep s’étend sur 10 000 hectares et couvre environ les deux tiers de la commune.

    Les services de la Ville veillent à l’application des mesures de prévention et de lutte :

    • Collaboration étroite avec les Sapeurs-Pompiers, le SIVU (Syndicat Intercommunal à Vocation Unique) et les associations,
    • Débroussaillement,
    • Gestion des Plans d’Urgence (Plan Communal de Sauvegarde, Plan Particuliers de Mise en Sécurité …),
    • Application de la loi et des arrêtés préfectoraux relatifs au débroussaillement et à l’emploi du feu.

    Les différents types de feux

    • Feux de sol : Le combustible est composé par la matière organique contenue dans le sol (humus, tourbières). Ces feux sont peu virulents et de propagation lente. Ils sont cependant difficiles à éteindre complètement (ils « couvent » en profondeur).
    • Feux de surface : Le combustible est composé par les végétaux se trouvant dans les strates basses de la forêt (arbustes et herbes hautes). La propagation de ces feux peut être rapide notamment si elle est favorisée par le vent et le relief.
    • Feux de cimes : Le combustible est composé par la partie supérieure des arbres. Localisés à cette zone, ces incendies libèrent de grandes quantités d’énergie et se propagent très rapidement. Favorisés par le vent et la sécheresse, ils sont difficiles à contrôler.

    Ces différents types de feux de forêt peuvent, selon les conditions, se cumuler.

    L'éclosion des feux de forêts

    Selon la base de données du site Promethee, environ 80% des départs de feu sont générés par les activités humaines.

    On peut identifier les causes d’éclosion dues à des activités humaines en 5 grandes catégories :

    • Les travaux agricoles ou forestiers (feux mal maîtrisés),
    • Les loisirs,
    • L’imprudence (mégots de cigarette, pique-nique…),
    • La malveillance,
    • Les causes accidentelles (ligne électrique, train, dépôts d’ordure où couve un feu…).

    Afin de préserver nos forêts et d’éviter de mettre les gens en danger, il est nécessaire que chaque citoyen soit particulièrement vigilant lorsqu’il évolue en forêt. Une simple imprudence peut avoir de lourdes conséquences :

    • Sur les personnes (risque de brulures, traumatismes… pour les civils ou les pompiers),
    • Sur les biens (maisons ou exploitations agricoles détruites),
    • Sur l’environnement (destruction d’une zone boisée affectant fortement la faune et la flore environnante).

    Le débroussaillement

    Il s’agit des opérations dont l’objectif est de diminuer l’intensité et de limiter la propagation des incendies par la réduction des combustibles végétaux, en garantissant une rupture verticale et horizontale de la continuité du couvert végétal, et en procédant à l’élagage des sujets maintenus et l’élimination des rémanents de coupe.

    Pourquoi débroussailler ?

    Les opérations de débroussaillement ont pour objectif d’assurer la protection des personnes et des biens, de diminuer l’intensité et de limiter la propagation des incendies.

    C’est une obligation de l’article L131-10 du Code Forestier, il appartient au propriétaire d’un bien, ou ses ayants droits, d’en assurer la protection.

    Si les travaux de débroussaillement ne sont pas réalisés

    Un constat sera effectué, à minima, 8 semaines après la première demande de prise de rendez-vous avec l'agent en charge du dossier, par un agent commissionné et assermenté du service Prévention des risques. Sans prise de contact de la part de l'usager, celui-ci sera établi depuis l'extérieur de sa propriété. En l'absence de réalisation des travaux de débroussaillement, le service sera contraint par la règlementation, de mettre l'usager en demeure de les exécuter, assortis : 

    • d'une astreinte administrative d'un montant de 35 euros par jour de regard à compter de la date de notification de la mise en demeure et jusqu'à exécution des travaux conformément à l'article L. 134-9 alinéa II du Code forestier,
    • d'une contravention de 5ème classe en cas d’infraction à l’article R. 163-3 du code forestier, une amende forfaitaire d’un montant de 200 euros (majorée à 450 euros)

    Sans travaux de la part de l'usager dans les délais fixés, ils seront exécutés d'office pour son compte et à ses frais conformément à l'article L. 134-9 alinéa I du Code forestier.

    Comment débroussailler ?

    1. Eliminer les broussailles, les arbres morts, dépérissant ou dominés,
    2. Créer des bosquets d'arbres de 80 mètres2,
    3. Les plantations d’alignement (arbustes ou arbres) peuvent être conservées à condition d’être distantes de 3 mètres des branches, houppiers et autres végétaux conservés.
    4. Elaguer les arbres conservés (sur 2 mètres si leur hauteur totale est supérieure ou égale à 6 mètres, ou sur 1/3 de leur hauteur totale si elle est inférieure à 6 mètres),
    5. Eliminer les rémanents de coupe.

    Que faire ?

    En présence d’une fumée suspecte

    Appeler les sapeurs-pompiers au 18 ou au 112. Le message d’alerte doit :

    • Préciser le lieu exact du sinistre (commune, lieu-dit, proximité d’un site particulier…),
    • Préciser la nature de la végétation qui brûle (herbe, broussaille, arbres, forêt,…),
    • Préciser l’importance du sinistre (petit feu, plusieurs dizaines de m2 en feu,…),
    • Préciser s’il y a des personnes ou des habitations menacées,
    • Indiquer éventuellement un point de rendez-vous pour guider les secours ou indiquer un accès précis,
    • Donner ses coordonnées téléphoniques et attendre l’accord des sapeurs-pompiers avant de raccrocher.

    En cas d’incendie

    • Si vous entendez les sirènes, mettez-vous à l'écoute de la radio. Observez les consignes de sécurité qui vous sont données.
    • Si vous recevez un message de l'automate d'appel de la Ville de Nîmes, mettez-vous en sécurité et à l'écoute de la radio. Observez les consignes de sécurité qui vous sont données

    Surpris par un feu de forêt

    • Chez vous, bouchez avec des chiffons mouillés toutes les entrées d’air (aération, ventilations mécaniques, cheminées). La fumée arrive avant le feu.
    • Suivez les instructions des pompiers, ils connaissent le danger.
    • Si vous êtes dans la nature, recherchez un abri sûr ou fuyez rapidement en suivant un axe perpendiculaire au vent.

    Si vous habitez une zone à risque, pour vous protéger et protéger vos biens

    • Débroussaillez autour de votre maison, conformément aux textes réglementaires.
    • Nettoyez votre toiture si elle est recouverte d’aiguilles de pin.
    • Débroussaillez, désherbez à nu autour des réserves de gaz.
    • Prévoir des moyens de luttes sommaires (pelles, seaux, sable, longueurs de tuyau).
    • S’il existe une piscine, rendez-la accessible aux pompiers.
    • Soyez très vigilant les jours de grand vent.
    • La réglementation relative à la prévention et la lutte contre les feux de forêt est notamment précisée dans le Code forestier.

      Débroussaillement réglementaire :

      Si vous souhaitez savoir si votre parcelle se trouve dans la zone d'application du débroussaillement réglementaire, vous pouvez accéder à la cartographie dynamique des services de l'état en cliquant ici.

      La loi et l’arrêté préfectoral en vigueur imposent au propriétaire de réaliser un débroussaillement qui diffère selon la localisation zonale du terrain sur le document d’urbanisme :

      • En zone urbaine et en ZAC, le propriétaire du terrain débroussaillera l'intégralité de sa parcelle.    
      • En zone non urbaine, le propriétaire de la construction assurera le débroussaillement dans un rayon de 50m autour de celle-ci et sur 5m de part et d’autre de la voie d’accès, même si cette distance pénètre sur la propriété d’autrui.   
      • Pour les propriétés à cheval sur une zone urbaine et non urbaine, l’obligation de débroussaillement est soumise aux deux réglementations.    

      En l'absence de débroussaillement autour d'une construction ou installation se trouvant dans une zone de massif forestier ou la bande des 200 mêtres : Les agents du pôle débroussaillement réglementaire contrôle la bonne application de la réglementation et accompagnent chaque propriétaire dans la mise en oeuvre de ses mesures.

      En cas d'inaction, le propriétaire s'expose à une mise demeure assortie d'une astreinte administrative de 35€ par jour de retard (5000€ maximum) et à l'issu du délais, à une exécution d'office des travaux, pour son compte et à ses frais.

      Débroussailler chez le voisin : Pour réaliser ces travaux obligatoires, il est impératif d’obtenir l’accord écrit préalable de celui-ci. S’il y a refus, il existe une procédure qui permet au maire de faire effectuer ces travaux d’office aux frais ou par celui à qui incombe l’obligation.

      Emploi du Feu : 

      Ce chapitre ne traite que des végétaux ou rémanents provenant du débroussaillement réglementaire visant à limiter la propagation des incendies de forêts. L'incinération des végétaux issus d’un entretien courant (tonte de pelouse, taille de haies…) est interdite toute l'année conformément à l'arrêté municipal du 16 avril 2018.


    Le transport de matières dangereuses (TMD)

    Une matière dangereuse est une substance qui par ses caractéristiques physico-chimiques, toxicologiques, ou bien par la nature des réactions qu'elle est susceptible de produire, peut présenter des risques pour l'homme, les biens et/ou l'environnement. Elle peut être inflammable, toxique, explosive, corrosive ou radioactive.

    Les modes de transports principalement utilisés sont :

    • Les canalisations aériennes ou enterrées (6% du tonnage total),
    • La route (80% du tonnage total),
    • Le rail (12% du tonnage total).

    D’autres modes de transport sont parfois utilisés :

    • La voie fluviale (2% du trafic intérieur),
    • Le transport maritime
    • Le transport aérien.

    La Ville de Nîmes et les TMD

    De par son positionnement géographique et ses réseaux routier et ferroviaire, la ville de Nîmes est particulièrement exposée au transport de matières dangereuses :

    • Exposition par réseau routier : Au sud de la ville par la présence d’un nœud autoroutier (A9 et A54) permettant de relier la vallée du Rhône, Marseille, Perpignan et Bordeaux, impliquant une forte circulation de camions transportant des matières dangereuses,
      A l’ouest de la ville par la présence de la route nationale n° 106.
    • Exposition par réseau ferré : Traversée de la ville par la voie ferrée (axes Lyon – Montpellier et Alès - Marseille).
    • Exposition par canalisation enterrée : Présence d’un gazoduc enterré au sud de la ville (du complexe sportif de la Bastide jusqu’au commissariat de Police Nationale).

    Les risques

    Les principaux risques engendrés par la survenue d’un accident lors du transport de matières dangereuses sont :

    • Incendie de produits inflammables solides, liquides ou gazeux : conséquence de l’échauffement anormal d’un organe du véhicule, choc contre un obstacle (avec production d’étincelles), inflammation accidentelle d’une fuite, explosion prés d’un véhicule, acte de malveillance.
    • Explosion due à une fuite ou un éclatement du récipient, diffusion du gaz dans l’atmosphère, avec effets à la fois thermiques et mécaniques (onde de choc).
    • Nuage toxique se propageant dans l’air, l’eau et/ou le sol : fuite d’un produit toxique (liquide, solide ou gazeux) ou résultant d’une combustion (même d’un produit non toxique).

    Les conséquences

    La survenance d’un accident de transport de matières dangereuses entraîne de nombreuses conséquences pour les personnes, les biens et/ou l’environnement.

    Pour les personnes

    • Incendie de produits inflammables solides, liquides ou gazeux : effets thermiques (brûlures) qui peuvent être aggravés par des problèmes d’asphyxie et d’intoxication, liés à l’émission de fumées toxiques.
    • Explosion : A proximité du sinistre et dans un rayon de plusieurs centaines de mètres, les blessures peuvent être très graves et parfois mortelles : brûlures, asphyxies, lésions internes consécutives à l’onde de choc et/ou traumatisme dus aux projectiles.
    • Nuage toxique se propageant dans l’air, l’eau et/ou le sol : risque toxique par inhalation, par ingestion directe ou indirecte, par la consommation de produits contaminés (eau), par contact. Ces effets peuvent être ressentis jusqu’à quelques kilomètres du lieu du sinistre.

    Pour l'environnement

    L’eau est un milieu particulièrement vulnérable, qui peut propager une pollution sur de grandes distances. Un rejet liquide ou gazeux peut conduire à une pollution brutale ou différée de l’air, des eaux superficielles ou souterraines (nappe phréatique), avec risque d’atteinte de la faune et de la flore.

    Pour les biens

    Un incendie ou une explosion provoquent des destructions, des détériorations, ainsi que des dommages aux habitations, aux ouvrages et aux cultures.

    • La réglementation et les mesures de sécurité mises en œuvre à l’heure actuelle permettent de limiter le risque de survenance d’un tel événement.

      Une classification et une identification servent à mettre en œuvre des mesures de sécurité et de sauvegarde adaptées :

      Classification des matières dangereuses :

      1. Matières et objets explosibles (risque principal : explosivité)
      2. Gaz comprimés, liquéfiés ou dissous sous pression (risque principal : état gazeux)
      3. Matières liquides inflammables (risque principal : inflammabilité)
      4. 1. Matières solides inflammables (risque principal : inflammabilité); 
        2. Matières sujettes à l'inflammation spontanée
        3. Matières qui, au contact de l'eau, dégagent des gaz inflammables
      5. 1. Matières comburantes (risque principal : inflammabilité)
        2. Peroxydes organiques
      6. 1. Matières toxiques(risque principal : toxicité)
        2. Matières infectieuses
      7. Matières radioactives (risque principal : radioactivité)
      8. Matière corrosives (risque principal : corrosivité)
      9. Matières et objets dangereux divers (risque principal : toxicité, température, divers)

      Signalisation des véhicules ou remorques transportant des matières dangereuses :

      Signalisation générale de T.M.D. :

      • Plaques oranges réfléchissantes (dimension de 40 cm par 30 cm), placées à l’avant et à l’arrière, ou sur les côtés du moyen de transport.  
      • Ou plaques oranges réfléchissantes indiquant le code matière et le code danger. Elle permet de connaître rapidement les principaux dangers présentés par la matière transportée.
      • Le numéro d’identification du danger (code danger) est situé dans la moitié supérieure du panneau.
      • Le numéro d’immatriculation de la matière (code ONU) est situé dans la moitié inférieure du panneau.

    Que faire ?

    En cas d'accident de transport de matières dangereuses

    • Si vous entendez les sirènes, mettez-vous à l'écoute de la radio. Observez les consignes de sécurité qui vous sont données.
    • Si vous recevez un message de l'automate d'appel de la Ville de Nîmes, mettez-vous en sécurité et à l'écoute de la radio. Observez les consignes de sécurité qui vous sont données
    • Ne paniquez pas.
    • Si vous êtes témoin de l'accident, donnez l'alerte en précisant le lieu et la nature du moyen de transport impliqué.
    • Si possible et sans vous mettre en danger, précisez aux secours le nombre approximatif de victimes et la nature du sinistre.
    • Si des victimes sont à dénombrer, surtout ne pas les déplacer, sauf en cas de risque imminent (incendie, explosion...); Effectuez cette manœuvre avec le maximum de précautions. Tout le monde doit s'éloigner ou s'abriter.
    • Ne fumez pas.
    • Si un nuage toxique vient vers vous, écartez-vous selon un axe perpendiculaire au vent, mettez-vous à l'abri dans un bâtiment ou quittez la zone (éloignement). Lavez-vous en cas d'irritation et si possible changez de vêtements.
    • En cas d'exposition, même supposée, manifestez-vous auprès des services de secours.

    Les carrières et cavités souterraines

    L’Etat a la charge d’identifier les cavités souterraines d’origine naturelle. Les collectivités ont la charge de recenser les carrières souterraines ou à ciel ouvert et les marnières présentes sur leur territoire.

    Ces données, portées à la connaissance des citoyens, leur permettent d’être informés du risque d’effondrement des sols du fait de la présence de carrières et de cavités souterraines.

    Les carrières à ciel ouvert

    Plusieurs carrières à ciel ouvert sont présentes sur notre commune. La quasi-totalité de celles-ci ne sont plus en activité, laissant un front de taille exposé aux éléments. Parmi celles-ci, il est évidemment nécessaire de souligner la présence des carrières romaines.

    Certaines carrières à ciel ouvert ont également fait l’objet d’une urbanisation avec la création d’ensemble immobilier au sein-même de l’ancienne zone d’extraction.

    En cas de dégradation du front de taille, les personnes et les biens peuvent être directement exposés à un risque de chute de pierre ou, si l’habitation se trouve au dessus du front de taille, à un risque de glissement de terrain.

    Il y a, sur la Commune, 20 carrières à ciel ouvert identifiées :

    • Carrière « Rouvin » 9002, chemin des justices
    • Carrière située 10, rue des remparts romains
    • Carrière située chemin de Roquemaillière
    • Carrière située 241, rue de la Gaffone
    • Carrière romaine de Roquemaillière située ancienne route d’Anduze
    • Carrière située 60, chemin des carrières
    • Carrière située sous le chemin du Quartier d’Espagne
    • Carrière située 326, chemin de la Cigale
    • Carrière située avenue de Santa Cruz, face au sanctuaire «Santa Cruz»
    • Carrière située 77, chemin des limites
    • Carrière située 115, route d’Uzès (Parcelle CI1394)
    • Carrière située 115, route d’Uzès (Parcelle CI1421)
    • Carrière romaine de Barutel, Mas de Constant
    • Carrière située Mas de Constant
    • Carrière située 9032, boulevard périphérique Ouest, 3 chemin des compagnons
    • Carrière située 407D, chemin d’Alesti
    • Carrière située 244, chemin de Russan
    • Carrière située route de Dions : carrière en activité non implantée sur la commune mais limitrophe
    • Carrière située avenue de Santa Cruz, coté sanctuaire «Santa Cruz»
    • Carrière située 385, chemin de la Cigale
       

    Dans le cadre d'une vente, location ou pour votre simple information, vous pouvez identifier, grâce au plan interactif du site internet, si votre parcelle se trouve à proximité d'une carrière à ciel ouvert

    Les cavités souterraines naturelles

    Les cavités souterraines naturelles et d’origine humaine présentes sur la Commune sont recensées par le «BRGM».

    Il s’agit de l’établissement public de référence dans l’application des sciences de la terre pour gérer les ressources et les risques du sol et du sous-sol.

    Le BRGM a identifié 34 cavités souterraines sous notre commune.

    Cavités souterraines d’origine humaine

    A la différence des cavités naturelles, certaines cavités sont liées à l’activité humaine comme, par exemple, les mines de charbon.

    Ces cavités peuvent représenter un risque en cas d’effondrement. En activité ou non, elles font l’objet d’un recensement.Il n’y a, sur la commune, aucune cavité recensée de ce type.

    Le «BRGM» ne fait mention d’aucune information sur ce point.

    De plus, en l’état de notre connaissance du sous-sol et selon la Direction Régionale de l’Industrie, de la Recherche et de l’Environnement Languedoc-Roussillon, aucune carrière souterraine n’a été exploitée sur le territoire communal.